Poursuivons sous le thème du «malaisant» avec cette trouvaille, ma foi, empreinte d’une pertinence sans précédent.
Liseux et lectrices, mon intérêt pour la chose vous décevra certes, mais sachez que je me plais à jeter, le soir venu, un oeil réjoui sur le quotidien dénué d’intérêt des lofteurs et loffeuses de la cuvée 2007.
SI. I’m a LOFT darling.
A real lovah.
Et toute lutte est désormais vaine.
L’attrait de la chose m’est irrésistible et c’est prise au piège que je suis contrainte à zieuter cette sélection de jeunes sexés manger leurs céréales 7 grains en se rasant l’aisselle avec un désintérêt désinvolte et calculé.
Mais bon.
PASSONS, puisque nul besoin il y a d’en faire l’apologie ou d’en revisiter le débat (c’est tout de même jour de fête).
CEPENDANT.
Je crois détenir du matériel qui saura réjouir tout détracteur de ladite téléréalité. Pour que vous en saisissiez la formidable beauté, je me dois toutefois de vous exposer certains détails. Alors prenez place et offrez-vous une tasse de lait chaud, car ces extraits sauront vous ravir.
C’est fait?
Superbe.
SAVOUREUSES RÉVÉLATIONS DU LOFT
Oreilles offensées, mangez de la brioche.
Cette année, les pétillants protagonistes de l’enlevante émission sont vraiment, mais VRAIMENT sans intérêt.
C’est à s’en déchirer le ticheurte.
Aucun drame de moeurs, des querelles soporifiques et de la nudité d’enfant de choeur. Le NÉAN.
Mais cette saison, thank god, la beauté ne vole pas le show, ça non.
Et les nocturnes internautes (un merci spécial au coloc qui y dédie un intérêt frôlant la dévotion perverse) le savent. C'est donc avec plaisir que je vous présente ZE bebitte du loft, un prix Nobel d’entertainment, une pure merveille de ti-gars qui a dû passer les premières années de sa vie enfermé dans le grenier : Sébastien.
Depuis le début de l’aventure, le jeune homme au physique difficile n’a pas la cote. Moins cutie que ses collègues huilés et hermétiquement fermé au jeu de l’amour et de la séduction, Sébastien s’est frayé, telle la vermine dans un containeure, un chemin vers le convoité kodak dans l’unique but de nous en donner pour notre argent. Le gars déteste les lofteurs, déteste le loft et s'évertue à semer la pagaille de son sourcil manipulateur.
Il se plaît d’ailleurs à nous le rappeler dès que ses naïfs collègues, qui le croient inoffensif et limite-demeuré, ont le dos tourné ou mieux, dans la nuit. Voici donc l’un de ses délectables exposés nocturnes où il exprime tout haut ce que l’on murmure tous dans le confort de notre salon.
Son propos est acide et 100% déplacé, mais le guts du personnage mérite clairement célébration. Longue vie à Sébasse et gardez-le dans le Loft, sans quoi je vais me faner devant la bouche en coeur de Veronika.
mercredi 31 octobre 2007
20 minutes de haine.
délicatement scuplté par
COCO CATHEY
à
12 h 33
Libellés : Je l'ai vu à la tévé
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